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Tabachnik
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Michel Tabachnik, ses essais
Ma rhapsodie
Dans cette Rhapsodie “traversée par la passion de l’art et de la vie, il est bien sûr beaucoup question de musique : le compositeur et chef Michel Tabachnik livre des pages captivantes sur la répétition d’orchestre, et plus généralement sur le fonctionnement de cette « société idéale ». Il évoque les œuvres et les musiciens qui ont le plus compté pour lui : Xenakis, Boulez, Markevitch, Karajan… L’ouvrage donne à lire également des considérations philosophiques et esthétiques, qui éclairent d’un jour nouveau la démarche du musicien. Des souvenirs personnels, enfin, racontés avec l’intelligence et la sensibilité qui sont les siennes.
Avec son style alerte et direct, Ma Rhapsodie, c’est aussi une manière de contrepoint à De la musique avant toute chose.
“Confession intime, savante, tragique, émouvante, et souvent drôle, d’un Tabachnik humaniste qui nous offre un hymne à la vie et à son mystère, que pour lui seule la musique est capable d’exprimer.”
“Ce sont surtout les réflexions philosophiques, spirituelles et scientifiques, qui permettent d’appréhender les convictions qui animent l’interprète et le créateur à travers des développements sur Jung, Nietzsche, la Kabbale. Autant de références philosophiques qui témoignent d’une grande curiosité et d’une vaste culture.”
Critique parue dans Diapason en septembre 2016
Ma Rhapsodie, 197 pages, Editions Buchet-Chastel, 2016
De la musique avant toute chose
Avec De la musique avant toute chose, Michel Tabachnik propose au lecteur son “concert idéal”. Il se compose d’œuvres de Richard Strauss, Béla Bartók, Igor Stravinsky, Xenakis et Boulez. Des deux derniers, il met en lumière le sens de leur recherche musicale.
La “lettre à Michel” que lui adresse Régis Debray (voir aussi les articles de la revue Médium), en guise de préface, nous place dans la position d’un “ignare de bonne volonté”. Elle ouvre un dialogue que Tabachnik ne demande qu’à partager. Elle contribue à faire de cet ouvrage une introduction vivante à la musique contemporaine.
De la musique avant toute chose, Buchet-Chastel, 508 pages, 2008
Allem voran die Musik, Rombach, trad : Michael Eriskat, 2012
La critique du nouvel observateur
Une intelligence très vive, un indéniable talent pour le portrait journalistique. Ici un développement magistral sur l’apparition de la musique sérielle, là une analyse stricte de l’emploi du nombre d’or par Bartók. Et puis des lignes magnifiques sur Xenakis à la fin de sa vie. Ou bien une sorte d’ode à la précision de l’oreille de Boulez répétant son «Marteau sans maître». (J. Drillon, Le Nouvel Observateur, octobre 2008)
La critique du magazine Diapason
Avec De la musique avant toute chose, Michel Tabachnik propose au lecteur son “concert idéal”. Il se compose d’œuvres de Richard Strauss, Béla Bartók, Igor Stravinsky, Xenakis et Boulez. Des deux derniers, il met en lumière le sens de leur recherche musicale.
La “lettre à Michel” que lui adresse Régis Debray, en guise de préface, nous place dans la position d’un “ignare de bonne volonté”. Elle ouvre un dialogue que Tabachnik ne demande qu’à partager. Elle contribue à faire de cet ouvrage une introduction vivante à la musique contemporaine.
De la musique avant toute chose, 508 pages, Editions Buchet-Chastel, 2008
Médium n°41 – Rythmes, L’invention perpétuelle de Michel Tabachnik
Dans ce numéro de Médium consacré aux rythmes, Michel Tabachnik signe un article intitulé L’invention perpétuelle.
Le temps musique n’est pas borné par le temps physique. La preuve : chaque civilisation se forge ses propres rythmes.
La pensée occidentale, merci la Grèce, est encline à inféoder chaque geste du monde à un système, une catégorie, une loi. Et le temps se conforme parfaitement à cette pensée. Il se présente sous forme de cycles, périodes, séquences, et surtout de retours.
Médium n°41, octobre-décembre 2014
Médium n°35 – Ruptures techniques et continuité culturelle
Dans le numéro 35 de Médium, ruptures techniques et continuité culturelle, Michel Tabachnik aborde la question d’un point de vue musicale.
Tant dans l’édition que dans la composition et l’exécution de la musique classique ou savante, l’informatique a apporté de considérables facilités et améliorations. Mais, outre que la technologie n’est pas responsable d’une certaine déserttion du public, on ne peut y voir qu’un moyen de plus offert à l’imagination créatrice.
Médium n° 35, avril-mai-juin 2013
Médium n°9 – Transmettre pour innover
À quoi sert un chef d’orchestre ? est le titre de l’article de Michel Tabachnik de ce numéro 9 de la revue Médium.
Juché sur un podium depuis le XIXe siècle, ce personnage vedette de la scène musicale est l’un de ceux qui incarnent le mieux la fonction médiatrice.
L’extrême visibilité qu’il doit à sa médiatisation occulte ce que ce rôle a d’étrange. En quoi consiste au juste son travail ? Et pourquoi est-il indispensable ? Questions toutes pratiques que nous avons naïvement posées à un homme du métier.
Médium n° 9, octobre-novembre-décembre 2006