Couverture De la musique avant toute chose, essai de Michel Tabachnik

Avec De la musique avant toute chose, Michel Tabachnik propose au lecteur son “concert idéal”. Il se compose d’œuvres de Richard Strauss, Béla Bartók, Igor Stravinsky, Xenakis et Boulez. Des deux derniers, il met en lumière le sens de leur recherche musicale.

La “lettre à Michel” que lui adresse Régis Debray (voir aussi les articles de la revue Médium), en guise de préface, nous place dans la position d’un “ignare de bonne volonté”. Elle ouvre un dialogue que Tabachnik ne demande qu’à partager. Elle contribue à faire de cet ouvrage une introduction vivante à la musique contemporaine.

De la musique avant toute chose, Buchet-Chastel, 508 pages, 2008

Allem voran die Musik, Rombach, trad : Michael Eriskat, 2012

La critique du nouvel observateur

Une intelligence très vive, un indéniable talent pour le portrait journalistique. Ici un développement magistral sur l’apparition de la musique sérielle, là une analyse stricte de l’emploi du nombre d’or par Bartók. Et puis des lignes magnifiques sur Xenakis à la fin de sa vie. Ou bien une sorte d’ode à la précision de l’oreille de Boulez répétant son «Marteau sans maître». (J. Drillon, Le Nouvel Observateur, octobre 2008)

La critique du magazine Diapason

Avec De la musique avant toute chose, Michel Tabachnik propose au lecteur son “concert idéal”. Il se compose d’œuvres de Richard Strauss, Béla Bartók, Igor Stravinsky, Xenakis et Boulez. Des deux derniers, il met en lumière le sens de leur recherche musicale.

La “lettre à Michel” que lui adresse Régis Debray, en guise de préface, nous place dans la position d’un “ignare de bonne volonté”. Elle ouvre un dialogue que Tabachnik ne demande qu’à partager. Elle contribue à faire de cet ouvrage une introduction vivante à la musique contemporaine.

De la musique avant toute chose,  508 pages, Editions Buchet-Chastel, 2008

Lire un extrait de De la musique avant toute chose
Acheter le livre